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recherche pour : recherchez aussi : - image boulangerie - photo boulangerie - peluche - mystère frontenac - écrire roman historique qui écrit ici ? imelda est étudiante en journalisme au celsa, après deux ans de classe prépa et une an d'histoire en université. depuis deux ans, elle fait partager ici ses découvertes de livres, films, musique et autres bonheurs. n'hésitez pas à laisser des commentaires. bonne visite ! photo en haut juliette tang. les carnets sur facebook pour trouver la page consacrée au blog, et "devenir fan" : - tapez le nom du blog dans la rubrique "recherche" de facebook - ou entrez ce lien : https://www.facebook.com/#!/pages/les-carnets-dimelda/128181717261886?sk=wall 2 mois à strasbourg actualité architecture chanson cinema citations creations ecrire expo gastronomie histoire humour impressions journalisme les entretiens d'imelda litterature mots musique opéra peinture petites reflexions petits ecrits imeldiens philosophie photographie poesie politique psychologie revue de presse roman theatre toile voyages visiteurs il y a 1 visiteur en ligne méta inscription connexion flux rss des articles rss des commentaires favoris croquis d’art etc-iste fenêtres sur cour l’esprit de l’escalier l’inconnu du métro l’opale de bactriane la joie du jour les lettres de philomène petites critiques sur grand écran un regard sur l’actu 15 février 2012 le lieu du printemps publié par carnetsdimelda dans cinema , philosophie , psychologie conte de printemps , sorti en 1989, est le premier des contes de quatre saisons d’eric rohmer. le héraut de la nouvelle vague filme ici deux amies, jeanne et natacha, qui d’un lieu à l’autre se révèlent à elles-mêmes. une délicieuse pensée cinémato-philosophique sur l’espace. jeanne (anne teyssedre) est une jeune professeure de philo. elle est à la rue, et pourtant a la clef de deux appartements : le sien, qu’elle a prêté à sa cousine, et celui de son ami matthieu, absent. lorsque natacha (florence darel) lui propose de venir et d’habiter la chambre que son père elle a laissée, elle accepte. dans la cuisine trônent quatre colonnes inutiles ; elles délimitent un espace. dès lors, le ton est donné. de dialogues, parfois un peu récités mais jamais ennuyeux, tissent des liens entre natacha et jeanne, toujours prompte à se demander où en est sa pensée. mais aussi avec le père de natacha, et eve son amie. y aller, ne pas y aller, rester, partir, aimer un lieu, le dédaigner… paris, la campagne. chez moi, chez elle, chez lui, chez vous. la mise en scène de rohmer toujours sobre et intimiste appuie une réflexion épurée sur l’espace et la liberté, faculté déjà évoquée dans ses précédents films comme ma nuit chez maud . une histoire qui de confidences en chants d’oiseaux parle du printemps. pas de commentaire 12 février 2012 strasbourg la lumineuse publié par carnetsdimelda dans 2 mois à strasbourg , impressions , photographie depuis le pont saint-guillaume. maisons du quai saint-nicolas. enseigne rue de la krutenau. vestiges de l’enceinte médiévale, rue du fossé des orphelins. maison rue de la douane. le parlement européen, vu de l’allée du printemps. depuis le pont saint-nicolas. un commentaire 10 février 2012 faire entrer le soleil publié par carnetsdimelda dans cinema , musique , psychologie sorti en 2011, le film de philippe claudel tous le soleils évoque avec finesse un homme veuf qui peine à se remettre en question, alors que sa fille découvre les émois amoureux. une jolie peinture familiale et sociale. alessandro (stefano accorsi) est italien et professeur de musique à l’université de strasbourg. ses relations avec sa fille irina deviennent peu à peu conflictuelles. quant à son frère qui vit avec eux, il est anarchiste et vit en robe de chambre, affirmant que l’italie de berlusconi n’est plus une démocratie. ayant perdu sa femme il y a quinze ans, alessandro peine à faire son deuil et à reconstruire sa vie amoureuse. la comédie de philippe claudel parle avec légèreté de sujets graves. comment laisser ses enfants grandir, tout en veillant sur eux ? comment laisser entrer quelqu’un dans sa vie, sans se protéger avec son passé et ses habitudes ? on perçoitl’héritage des films français, avec l’apparition fugitive des défunts enfin à leur place, comme dans ponette de jacques doillon (1996). et toujours ce côté minimaliste. strasbourg y est filmé en été, ce qui lui donne des airs quasi méditerranéens. une touchante histoire. pas de commentaire 7 février 2012 strasbourg : étudier dans la vallée du rhin à coût réduit publié par carnetsdimelda dans 2 mois à strasbourg , actualité , voyages a la journée des universités de strasbourg (ju) les 2 et 3 février, un stand présentait les possibilités d’études à l’étranger. le réseau eucor, qui permet aux étudiants strasbourgeois d’étudier dans un ou plusieurs campus de 5 universités du rhin, propose désormais une bourse de mobilité. une seule carte d’étudiant pour cinq universités (strasbourg, mulhouse, fribourg, karlsruhe et bâle, photo ) : c’est depuis 20 ans le concept d’eucor. ce réseau permet de créer son parcours à la carte dans des universités d’allemagne, de suisse et de france. il suffit des choisir des cours dans un projet cohérent, et de les faire valider par le correspondant relations internationales de sa faculté. « le financement est souvent la barrière la plus importante pour des études à l’étranger, avec celle de la langue » , déclare lucie gonin, dela direction des relations internationales de l’université de strasbourg (uds). l’uds propose une bourse de 100 euros par mois à chaque étudiant qui effectue au moins un semestre dans une des universités partenaires. cette bourse est cumulable avec une bourse sur critères sociaux. elle ne l’est pas cependant avec une seconde aide de l’uds, qui concerne les étudiants du réseau eucor qui suivent un cours isolé ou étudinte une matière secondaire complète. selon l’université et le nombre de déplacements, l’aide oscillera entre 16 et 40 euros par aller-retour. il faudra bien sûr justifier de sa présence et de ses titres de transport. 250 universités partenaires l’ouverture à l’international est évidemment un objectif qui s’étend au-delà de la vallée du rhin. si une étudiante demande au stand quels sont les échanges avec la suisse, une autre, en 1 ère s à barr, déclare être « intéressée par les langues et la musique » . elle n’a pas de destination favorite en tête, mais 250 universités hors d’europe lui seront proposées, pour partir dès la deuxième année d’études. dès la première année, elle pourra s’informer à la direction des relations internationales de l’université de strasbourg, situé au patio. elle rejoindra les 900 étudiants de la fac qui partent chaque année pour de nouveaux horizons. pas de commentaire 5 février 2012 incantations cosmiques publié par carnetsdimelda dans 2 mois à strasbourg , chanson , musique peut-on chanter le feu, l’eau, la terre, l’air ? c’est ce qu’a fait l’ensemble vocal féminin plurielles, vendredi 3 février. cet ensemble strasbourgeois a interprété diverses compositions du xxe siècle – de poulenc, holst ou rachmaninov - évoquant et invoquant les vibrations du monde. dans l’église protestante saint-guillaume de strasbourg, une trentaine de femmes de tous âges s’alignent. le lieu est sobre - fenêtres longilignes, mais orgue immense et chaire dorée. leurs regards des choristes se concentrent sur leur jeune chef de choeur, jean-philippe billmann. la pianiste, vérène rimlinger, ébauche quelques notes cristallines ; elle travaille à l’opéra national du rhin (place broglie à strasbourg). vêtues de robes noires et ceintures oranges, les femmes aux voix argentées commencent par invoquer le feu, avec l’ hymn to the dawn ( hymne à l’aube ) de gustav holst, compositeur anglais mort en 1936. la lumière coulant sur les visages lisses ou ridés des chanteuses devient orange. puis blanche lorsque c’est l’eau qu’évoque sur la mer de vincent d’indy. pour la terre , c’est la surprenante mouth music de dolores keane a